Sunday, May 06, 2007

SARKOZY élu président de la République Française - va-t-il pouvoir tenir ses promesses?
Le nouveau président de la République Française a héritéd'un pays dans un profond désarroi. S'il peut se féliciter de la majorité claire qu'il a obtenu dans le second tour de l'élection face à une Ségolène Royal de plus en plus émotive, aggressive et en même temps chancellante dans la phase terminale, il va être hanté par le spectre des expectations qu'il a nourri dans les rangs de l'extrème droite. Va-t-il pouvoir se libérer de l'hypothèque que ses déclarations plus encourageante vis-à-vis des exigences l'extrème droite représenten pour lui. A gauche, il n'y a pour l'instant peu de risque pour le nouveau patron de l'Elysée, L'envie de faire la grève se trouve fortement amoindrie, et il faudra beaucoup d'effort pour guérir les blessures des déchirements intérieurs dans les rangs des socialistes.
De toute façon, il ne faut pas perdre des yeux le candidat qui a fini troisième au premier tour des élections présidentielle, François Bayrou, et qui très probablement va faire un effort considérable pour se retrouver avec un groupe parlamentaire UDF fort à l'Assemblée après les élections législatives de l'été.
La chance pour les centristes de modifier non seulement la ligne de tir de l'UMP, mais aussi bien celle de la gauche dans la bonne direction, c.à.d. l'ouverture d'abord sur l'Union Européennes puis sur le marché nord-américain et mondial.

4 comments:

Anonymous said...

Très intéressant pourrions prouver les commentaires de M. Dominique Strauss-Kahn sur l’état intégralement désastreux du PS, en référence justement à François Bayrou et son nouvel partie Mouvement Démocrate, dérivant de l’UDF.

Il était plus qu’évident, que le PS est entré dans la phase finale des combats des différentes orientations et je ne saurais pas du tout surpris, si nous pouvions constater des changements bouleversants avec la conséquence le 10 et le 17 Juin, que l’UMP et – si ils trouvent un consensus, car en France il y a toujours le système majoritaire - le Mouvement Démocrate emporteront une majorité de deux tiers.

… sans doute, les camarades suisses et (!) bâlois du PS de Hollande & Royale observeront avec une inquiétude accentuée ce qu’il se passera en Juin, en France. La constellation, l’appelant la constellation psychologique, change chaque mois plus en faveur des candidats du Parti Libéral, à savoir: Me Andreas C. Albrecht., Me Andreas Burckhardt, Me Conradin Cramer et Mme le Président du Parti, Mme. Maria Iselin-Löffler. Ravissant, tout à fait!

Unknown said...

heute in der NZZ (Seite 46): Der Umgang Sarkozys mit der Vergangenheit: http://cvuh.free.fr/

Anonymous said...

... entretemps on parle de 420 à 460 Députés de l'UMP ..., le MoDem éliminé, le PS ... qu'un symbole d’une corbeille pleine d'erreurs. Et à Bâle, que se passe-t-il avec les Socialistes vs les Libéraux ?

Osservatore Profano said...

M.Sarkozy aparamment garde toutes ses chances pour écraser l'opposition lors des législatives - mais avec quelles conséquences à long terme pour la démocratie?
Cependant, votre question concernant le petit village au nom de Basiléa situé à la frontière entre Gaulois et Goths, donc sur l'extrème droite de la France, se trouve dans une toute autre situation. Sans être importuné par les Romains, il se livre à ses querelles internes suivant sa tradition de mégalomanie nanophile.
Il y a là un parti socialiste qui se considère comme l'ange gardien du dernier paradis socialiste, une tradition qui a pris naissance dans les années trente lorsque les voisins Goths brandissaient la croix gammée. Le parti libéral, d'autre part, doit se battre contre le stéréotype qui lui colle sur le dos depuis des décennies, c'est d'être l'ange gardien de la haute bourgeoisie bâloise. Du fait que cette haute bourgeoisie est en train de disparaître, le petit parti recommence à battre des ailes comme un phénix qui vient de sortir des cendres...
Les villageois auront donc l'occasion, en automne 2007, de décider s'il veulent vivre dans un musée du socialisme ou bien s'ils ont envie d'ouvrir les yeux au monde, sous le drapeau de la liberté et de la responsabilité individuelles et, last but not least, d'un développement durable.